Quand le gouvernement a éliminé le programme Connexion NB-AE sans aviser personne, y’a bien du monde qui a dû revoir ses plans pour la rentrée à un moment où des décisions sont déjà prises et peuvent difficilement être changées. Renouveler un loyer déjà trop cher par crainte de devoir payer plus (et potentiellement pour pire) ailleurs me vient en tête, mais ce n’est pas le seul exemple. Genre: étudier ou pas?
L’absence de mesures pour combler le vide causé était très problématique. Vu le silence du ministère de l’Éducation postsecondaire, de la Formation et du Travail (MEFT), il était difficile de parler solutions. Quand à peu près rien n’est dit sur une décision sinon qu’elle est déjà prise, on peut bien mal savoir quels sont les moyens d’en limiter l’impact.
Par Raymond Blanchard, agent de recherche et de projets
C’est difficile d’ignorer à quel point l’élimination du programme Connexion NB-AE annoncée le 23 juin par le gouvernement du Nouveau-Brunswick (GNB) a fait réagir.
D’abord parce que ce n’est pas le gouvernement qui l‘a annoncée; c’est nous. Tout ceci s’est décidé sans avertir ni consulter personne du côté étudiant, ce qui laisse perplexe dans le cas d’un programme qui relève du fédéral et ne coûte pratiquement rien à Fredericton.
Par Raymond Blanchard, agent de recherche et de projets
Il y a de cela quelques semaines, par un mercredi bien tranquille, un coup de tonnerre secouait notre petite province: les deux députés de la People’s Alliance of New Brunswick (PANB) rejoignaient les rangs du gouvernement progressiste-conservateur (PC).
Faut quand même pas sauter trop haut non plus, là. Y’étaient déjà accotés depuis un bout de temps, comme on dirait par chez nous.
Aoû 26 |
Sep 9 |